« Ce que tu fais indique qui tu es. »
Partons de cette idée simple pour me définir tel que j’étais hier et tel que je suis aujourd’hui.
Je me présente : Philippe Ruiz, né à Limoges en 1968.
Je suis issu d’un père hyper cartésien et d’une mère hyper religieuse.
Ce qui a fait de moi un être hyper adaptable.
Les 40 premières années
L’influence principale de mes 40 premières années fut celle du rationalisme.
La quête d’un sens aux choses de la vie me poussait à disséquer les faits extérieurs.
Sans jamais rien trouver de satisfaisant.
Je considérais même intérieurement toute personne dite « spirituelle » comme un personne ayant des problèmes psychologiques provoquant une fuite du réel.
J’ai dévoré les livres et revues de sciences, d’astronomie, de tout ce qui expliquait les mécanismes du monde.
Je m’intéressais un peu à la psychologie et aux neurosciences mais je trouvais ceux qui voulaient expliquer les mécanismes du bonheur d’un cynisme, d’une tristesse incroyable et je ne supportais pas ce sourire omniprésent sur les lèvres des vendeurs de joie de vivre.
Un sourire aux lèvres, non validé par un sourire dans les yeux, m’a toujours semblé pénible à regarder.
Toutes mes activités professionnelles précédentes m’apprirent énormément sur moi comme sur le monde.
Rien ne semblait avoir de but.
Du moins, au delà de la glorification de l’égo, de la recherche de plaisirs éphémères.
Aucun sens profond, aucune signification acceptable n’en ressortait.
Pour jouir de cette vie, il fallait seulement ne jamais s’arrêter et rester dans le bruit.
Ne pas regarder en arrière.
Ne jamais rien questionner.
Accepter seulement d’être emporté par le tourbillon de son époque.
Ne jamais s’arrêter et surtout, surtout… toujours refuser le silence pouvant nous mettre face à nous-même.
Oui, toujours refuser le silence.
Rattrapé par la question du sens de la Vie.
Mais voilà, la Vie, l’Univers, Dieu, peu importe comment on décide de le nommer, semblait vouloir que je me questionne.
C’est à ce moment là que la Spiritualité entra dans ma vie, presque malgré moi.
Mes expérimentations personnelles furent nombreuses et variées.
Une nouvelle porte, un nouvel univers venait de s’ouvrir à moi.
Avec son lot de nouvelles lois.
Je décidais donc d’en savoir plus…
(Je raconterai certaines de mes expériences dans la rubrique « Tranches de vie intérieure ».)
J’étudiais tout ce que je trouvais sur le sujet et sur ces mondes si particuliers que j’approchais : Les interprétations bouddhiste, hindouiste, celles de spiritualistes, celles de scientifiques…
J’en appris beaucoup mais ma recherche de sens n’était pas satisfaite.
Un ami réunionnais (dont je tairai le nom pour respecter sa timidité mais qui se prénomme Patrice) m’éduqua à la science occulte qu’est l’hermétisme.
L’hermétisme me conduisit vers l’essénisme.
Je sus de suite que c’était le courant de pensée ésotérique qui me convenait le plus.
J’y trouvais à la fois une tradition, une structure, une méthode et une liberté d’être qui me plu.
Mon esprit logique hérité de mon père et le coté spirituel issu de ma mère se trouvaient enfin réconciliés.
En quelques années, je suis devenu étudiant, pratiquant, prêtre puis intervenant essénien.
Afin de maîtriser les techniques de soins holistiques esséniens, j’ai suivi pendant 2 ans les cursus de formations en Médecine Sacrée, Soins esséniens pour les âmes des défunts, et Guérison par les 4 éléments du naturopathe essénien Guilhem Cayzac.
Mais, ma formation ne s’arrête pas là.
Elle continue avec vous.
Oui, chaque intervention, chaque cas rencontré me fournissent le creuset permettant de m’améliorer.
Je me nourris, me transforme et m’enrichis de nos rencontres.
A chaque intervention, un nouveau Philippe Ruiz se révèle…
Merci à vous.
Mes loisirs
Certains jours, je deviens jardinier car j’accorde beaucoup de temps à travailler la terre de mes mains pour nourrir ma famille (je ne compte pas m’arrêter de si tôt) et j’adore ça.
Pour cette raison là, vous trouverez, lors de nos entretiens, énormément de références à la Nature et aux Êtres qui la peuplent.
Les oiseaux, les arbres, la Terre… m’apprennent concrètement les vertus (harmonie, douceur, vérité…).
On ne triche pas avec le réel.
Merci à tous ces Êtres.
La nuit, j’endosse la panoplie d’un astronome amateur.
Là, dans le silence de la nuit étoilée, je contemple l’infini…
Les astres me parlent de cette lumière qui perdurent éternellement, même après la mort d’une étoile…
La technologie permet cet élargissement des sens.
Merci à elle.
Photo de la nébuleuse M27 prise par moi-même le 25 octobre 2022 aux Billanges avec mon télescope Dobson de 400 mm.
Copyrights Philippe Ruiz (EI)
Siret : 41499147100056
Assurance ORUS Responsabilité civile professionnelle N°RCPH278326129